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Keskisdiici à La Chapelle

Sauvé de justesse des mesures sanitaires, le premier (et unique à ce jour) atelier public a eu lieu à La Chapelle de Clairefontaine le 16 octobre. Devant son succès, la capacité maximale de 15 personnes a été étendue aux 17 participant∙es de 14 à 84 ans !

Ils et elles ont plongé pour certains dans l’histoire et pour d’autres dans l’actualité du lieu supporté∙es par les consignes de Christine Coutris qui les invitaient à faire parler les espaces, les objets. L’équipe artistique partage ainsi avec le public la perception qu’elle a du lieu : habité de la vie des moniales d’autrefois dont le recueillement dans la prière et l’ouverture à la nature dessine une continuité avec les œuvres d’art qui y sont aujourd’hui exposées par le couple de galeristes Marion et Baudouin Lebon.
Alors, « Esprit es-tu là ? ». La réponse a été unanime : « oui » !

Ambiance concentrée, imagination ouverte, perception du passé du lieu à travers les images qui en étaient données (exemples ci-dessus) ou l’expérience que certains en avaient… En effet, si une partie des bâtiments de La Chapelle est actuellement à l’abandon, il est manifeste qu’ils accueillent tout de même des visiteurs et visiteuses illicites et curieux. Plusieurs étaient dans la salle…

On a entendu parler la clé de voûte ; elle a vu passer les religieuses puis les travaux faisant de l’ancienne nef le vaste espace d’exposition d’art contemporain où se déroulait l’atelier. L’époque, pendant la révolution, où la Chapelle a été transformée en fabrique de bas de soie en a inspiré plusieurs. La porte-fenêtre a raconté sa vision du monde, elle marque le seuil entre le dedans et le dehors, ainsi que la bougie et la table de l’ancien autel, les luminaires et jusqu’à la bouche d’aération dont on a pu découvrir le vécu ! Promenade contée et imaginaire dans les âges du lieu.

Tout le monde a joué le jeu, souvent étonné∙e de se laisser ainsi emporter par une inventivité qu’il ou elle ne se connaissait pas. Une soirée qui leur a permis « de s’évader du quotidien, de s’aérer l’esprit, bref de se mettre au vert » comme a résumé une élue de Saint-Rémy qui, avec son mari, découvrait La Chapelle à cette occasion et s’est promis de revenir.

Les lectures des textes par leurs auteurs se sont faites dans un silence… religieux ! Sous le regard austère des magistrats photographiés par Christian Courrèges. Elles étaient enregistrées par Gwennaëlle Roulleau, la musicienne de l’équipe artistique. Qui sait si ces paroles ne se retrouveront pas dans les propositions publiques du printemps 2021…

Merci à Baudoin et Marion Lebon pour leur accueil, à Sophie Dransart du PNR pour le coup de main à la logistique et à Hervé Bastien qui est l’auteur de toutes les photos de la soirée. Ancien stagiaire du PNR, il continue de suivre le projet Se mettre au vert. Vue l’affluence, il a laissé sa place à d’autres personnes ce soir là mais la prochaine fois, c’est décidé, il participe !
> Voir aussi l’article de Sophie Martineaud dans l’Echo du Parc n°85.

Sans oublier le convivial partage final !

Une Sensible en Finlande

La proposition des « Sensibles » s’est adaptée aux envies des participantes et à celle des multiples transformations des dispositions sanitaires. C’est à un lieu particulier que les premières sensibles se sont liées. Il s’agit, pour elles – puisqu’à ce jour, seules des femmes ont participé -, de rendre compte de leur regard sur le lieu ou ce que nous y faisons lorsque nous y sommes. La liberté est totale quant au sujet, à l’ampleur de l’investissement et à la forme du témoignage.

Photographe amatrice, Annie Lamiral est passionnée d’architecture contemporaine. Lorsqu’elle a découvert la proposition faite dans le cadre de Se mettre au vert, elle s’est immédiatement manifestée. Son intérêt allait tout particulièrement à la Maison Louis Carré – Alvar Aalto qu’elle connaissait déjà et adore. Notre projet lui a donné l’occasion d’y porter un regard renouvelé et d’échanger avec nous sur nos pistes de création pour le lieu. Elle rassemble ses souvenirs anciens et sa visite récente pour rendre compte de son exploration en un début d’abécédaire sensible.

A comme Alvar, comme Aalto.
C’est qui ? Un architecte finlandais (1898-1976) dont la Maison Carré est la seule réalisation en France. Mais il était aussi un designer, notamment connu pour son sublime vase à vagues. A ce propos, Christine m’apprend que « aalto » signifie « vague » en finnois !
A comme accro, comme architecture, comme apnée
Avant de vous raconter ma visite, il me faut d’abord vous avouer… que je suis accro d’architecture moderne, de photos et de mots. Dès mon arrivée, face au portail géométrique flanqué d’un lampadaire en cuivre, je sens déjà une poussée d’adrénaline ! Je retiens mon souffle en montant le chemin. Au détour du virage, je découvre que le petit bois s’ouvre sur une vaste prairie où trône sur sa butte, majestueusement, LA pépite : la Maison Louis Carré intégralement conçue par Alvar Aalto !

B comme Bazoches-sur-Guyonne, comme bijou de briques et de bois
A une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Paris, se cache à l’abri des regards, la maison Louis Carré, une bâtisse aux murs de parpaings habillés de briques blanchies à la chaux. Elle est surprenante par sa taille : paraissant si petite de l’extérieur, elle est pourtant si spacieuse à l’intérieur ! Six chambres avec salles de bain ou pièce d’eau, cuisine intégrée, sauna, tout le confort moderne pour cette maison construite en… 1958 !
B comme bluffée, comme beauté et comme bonheur
La porte d’entrée à peine franchie, je suis saisie, bluffée par la simplicité du lieu. Ni dorure, ni clinquant, ni fioriture. Le décor est sobre et élégant. L’ambiance à la fois apaisante et des plus chaleureuses. Les murs sont vastes et blancs, prêts à accueillir de nouvelles toiles. Frêne, chêne, hêtre, bouleau, pin sont omniprésents sur les portes, les claustras, les meubles jusqu’au vertigineux plafond du hall d’entrée en forme de vague.

C comme Louis Carré
C’est Louis Carré (1897-1977), ancien avocat au barreau de Rennes, devenu, dans les années 30, marchand d’art et collectionneur qui fait construire cette villa comme lieu de repos en famille mais aussi lieu d’expositions d’œuvres d’art contemporain. Il choisit cette campagne d’Ile-de-France pour se mettre au vert, suite à des séjours chez son ami Jean Monnet, l’un des fondateurs de l’Union Européenne, dont la demeure est de l’autre côté du chemin (et fait aussi partie du projet). Habitant alors chez Le Corbusier rue Nungesser et Coli, il sait qu’il ne veut pas être entouré de béton. Sur les conseils d’Alexander Chalder, il contacte Alvar Aalto pour avoir une résidence d’inspiration nordique.
C comme concentrée
Tout au long de ma visite, je suis concentrée sur mes photos. Je veux voir au-delà du simple regard. Avant d’appuyer sur le déclencheur, je réfléchis chaque cadrage, chaque plan, chaque angle, je recherche la meilleure ligne ou la meilleure courbe à mes yeux. Je poursuis chaque ombre. Je ne veux surtout pas dénaturer l’œuvre mais, au contraire, je nourris le profond désir de la sublimer.

D comme détails
Et si l’architecte était là, dans la pièce d’à côté ? J’aimerais tant lui parler, l’écouter, m’assurer qu’aucun détail ne m’a échappé et qu’il n’est pas déçu par la vision que je donne de sa création.

E comme esthétique, E comme émotions et comme éblouie
Je suis envahie par les émotions. Le réel et l’imaginaire se mélangent, l’extérieur et l’intérieur ont fusionné, le fonctionnel et l’esthétique se sont rencontrés. Je vis une expérience à la fois troublante et réjouissante. Je suis conquise.
Les artistes mènent leurs recherches. Je les vois essayer des sons, des dispositions, des trajets, des idées. Sensible aux mots, j’écoute avec curiosité les premiers textes que Christine propose. Je suis d’accord avec elle qu’ils doivent être ciselés, élégants, minimaux… un vrai défi que de cohabiter avec le design d’Alvar Aalto !

F comme Finlande… et comme fin
J’ai fait le plein d’images et de sensations, j’en suis rassasiée. Avec la hâte de voir toutes ces photos que j’ai prises, je redescends l’allée jusqu’au portail qui se referme sur moi. Ma parenthèse finlandaise se termine. Je pars, comblée, joyeuse, radieuse. Curieuse aussi de la création que l’équipe va proposer en ce site… Je sais déjà que je reviendrai !

Toutes les photos de cet article sont de Annie Lamiral. Elle précise : « IPhone XS – Aucun editing – 100% produit naturel » !
>> Pour découvrir son travail d’amatrice passionnée, c’est aux bons soins d’Instagram : @annyelleparis pour l’architecture contemporaine et @annydifferently pour les géométries, matières et textures.
Grand merci à elle pour ce témoignage riche, sensible et élégant ; il nous a emportés.

Un lieu commun rare et précieux

Une, puis deux et trois compagnies de spectacle vivant ont rassemblé leurs forces et leurs ami∙es pour remettre en état les bâtiments annexes d’une maison de retraite de la RATP à l’abandon.

Depuis 5 ans, ils restaurent et font vivre le projet et le lieu avec l’aide de la quarantaine de bénévoles qui, collectivement, savent tout faire, et le soutien d’acteurs culturels du territoire.

Leur accueil est chaleureux dès la première visite et à chaque fois que nous venons faire chez eux nos « explorations ». Nous furetons, nous écoutons sonner les objets, nous discutons avec Sidonie, Alexis, Laura, Cécile et les artistes présent·es chaque fois. Et livrons nos premières impressions.


Se réunir et créer, en amitié avec les choses. Tout est beau qui se met au service du rêve et de la joie de faire ensemble. Tout fait foyer, chaleur, et partage. L’important est d’animer, habiter, mettre les choses au service de l’envie. Ranimée, la terre s’habille de haricots, de salades, chrysanthèmes et potirons, les bâtiments se remettent à abriter. Simplement. Généreusement.

Le Lieu, c’est un terreau. Viennent y pousser des créations, des fêtes, résidences artistiques, rencontres, et des moments partagés. Avec les proches, les compagnons de route, les voisin·es, les curieux·ses, les ami·es. De la proximité géographique et humaine portée par l’impulsion de ce qui rassemble. Et qui irrigue vers les villages alentours.

Se mettre au vert, pour elles et eux, c’était avoir la place. C’est devenu construire, créer, avec les éléments aussi, s’offrir le rêve, retrouver les rythmes de la nature, jardiner, bâtir, bricoler, faire œuvre et amitié. Respirer. Un lieu commun rare et précieux.

NB : la présentation des photos par deux ou trois, suggérant les échos qui résonneront pour chacun·e de façon singulière, a été inspirée par les images d’Annie, « Sensible » du projet. Bientôt un article pour partager son regard amoureux sur la Maison Carré…

La main et l’esprit

Exploration de la Fondation Coubertin sous le soleil. Un ravissement. Cette Fondation s’inscrit sur un site magnifique, à portée de pied du terminus RER, avec des arbres somptueux, un jardin paysager de bassins et sculptures, une immense pelouse « plantée » d’œuvres, un potager, une zone humide, un sous-bois d’aspect plus sauvage et même une basse-cour au fond de la futaie. Vue sur la vallée de l’Yvette chère au cœur de Sandrine, en contrebas du Claireau.

S’y promener amène à découvrir le bâti, varié, dont l’allure évoque différents siècles et usages (le château, la ferme reconvertie en espace d’enseignement et d’hébergement, l’espace d’exposition et les ateliers) ainsi que les personnes qui y travaillent, étudient et habitent. Outre la conservatrice et sa collègue en charge du Musée de la Fondation, le directeur, nous rencontrons la nouvelle promotion fraîchement arrivée en ce début septembre et quelques membres de l’équipe enseignante et administrative. Autorisation nous est accordée de venir dans les ateliers où ces jeunes boursiers et boursières (elles sont 3 sur 32) vont recevoir un enseignement pratique de haut vol, immergé·es dans un environnement propice.

La singularité de ce centre du compagnonnage tient au fait qu’il se trouve en campagne alors que le Tour de France fait d’habitude voyager les apprenti·es de ville en ville. Ici, les jeunes sont invité∙es à se mettre au vert pour recevoir cette formation d’excellence baignée d’art et de nature. Le recueillement, la concentration et l’ouverture sont palpables sur le site.

Nous ressentons un goût et un soin des choses omniprésents à Coubertin : application, savoir-faire, tournemain, habilité, intelligence du matériau et de la manière de le travailler. Conservation et transmission de l’artisanat d’art. Yvonne de Coubertin et Jean Bertrand, les cofondateur·trice de la Fondation promouvaient une université ouvrière où l’être puisse retrouver son unité : corps-esprit, savoir-faire et inspiration. Des mains à l’œuvre. Nous percevons ce dialogue…

C’est emplis de la richesse, la douceur, la gentillesse de nos interlocutrices et interlocuteurs que nous repartons, prêts à faire notre miel de cette exploration et inventer, à notre tour, une création qui la traduise, au printemps prochain…

Œuvres : Ousman Sow, Joseph Bernard, Antoine Bourdelle. Ateliers de Métallerie & Ferronnerie d’art, Fonderie d’art & Restauration, Menuiserie d’art & Agencement, Taille de pierre – Marbrerie.

Coronannulations n°2

À nouveau, et comme tout le monde, le projet disparaît derrière les murs… Nos prochaines propositions publiques sont évidemment annulées suite aux mesures sanitaires. Nous vous ferons part de leur reprogrammation dès qu’elle sera décidée, sur ce blog et par les moyens de communication habituels du PNR.

Nous allons autant que possible poursuivre les explorations et rencontres sur le terrain dès lorsqu’elles ne mettent personne en risque.

Celles et ceux qui confinent près d’un des sites* du projet peuvent en profiter pour aller les découvrir… de l’extérieur ! Les prendre en photos et nous adresser leurs clichés, le jeu des 7 familles est toujours actif. Plus d’information ici.


Les lieux concernés sont les suivants :

Les enfants se mettent au vert !

la première séance scolaire a eu lieu hier à La Chapelle. Rencontre joyeuse du projet Se mettre au vert avec les 18 petit∙es de Clairefontaine. C’était la classe multi-niveaux de l’école du village, CE2, CM1 et CM2, accompagnée de Delphine, son institutrice. Il leur suffisait de traverser la place pour venir passer la journée dans le lieu d’art contemporain qu’est La Chapelle.

La matinée était consacrée à la présentation du lieu, avec Marion Lebon, sa co-directrice, et celle du projet du parc naturel avec Sophie Dransart, occasion de découvrir de façon ludique les 6 autres sites du projet.

L’après-midi, mise en pratique des explications ! Christine Coutris a invité les enfants à explorer leur propre vision de la campagne, celle où on se met au vert, par des mots qui la caractérisaient. Une fois la première timidité passée, les propositions ont fusé au sein des 3 petits groupes. L’image mise en tête de cet article en est la trace.

Les enfants ont ensuite rencontré les œuvres présentes dans le parc puis la (somptueuse) exposition de portraits en cours dans la nef ; leur inventivité a été sollicitée par Christine pour qualifier les œuvres ou imaginer les actions des personnes photographiées. Des « moissons de mots » ont ainsi été constituées à partir desquelles les enfants ont composé des petits poèmes-phrases. Surprise et poésie étaient bien au rendez-vous !

Quel∙le poète n’envierait pas « La forêt orgueilleuse se suicide« , « Le calme lumineux sauve l’oiseau » ou « L’herbe orange prie » ? Dans un ancien monastère, qui plus est ! Et « la terre parfaite se gratte » n’est-elle pas un sidérant résumé de notre situation écologique mondiale… À méditer avec les enfants !

Pour finir l’après-midi, les petit∙es sont allé∙es accrocher leurs œuvres sur la cabane en grillage rouge, à côté de celles que d’autres avaient mises. La cabane s’emplit au fil du temps des contributions de toutes celles et ceux qui croisent notre projet.

Retours d’expérience sensible

Un public chaleureux de curieuses et de curieux est venu le vendredi 28 août 2020 à la Fondation Coubertin pour découvrir les cabanes « Se mettre au vert » conçues par Pedro Marzorati. Le festivAl’OUT de Saint-Rémy-lès-Chevreuse a fourni au projet l’occasion de relancer sa présence sur le territoire, après cette longue période d’éloignement forcé depuis le printemps.

Dans le magnifique parc de Coubertin, le temps s’est fait clément pour ces premiers explorateurs accueillis par Christine Coutris. De plus et moins jeunes ont expérimenté ces espaces ouverts et pourtant protecteurs qui favorisent la contemplation, l’écoute, la découverte.

Invité·es à saisir, en un mot, leur impression sur des supports multicolores offerts au vent, les visiteurs et visiteuses ont joué le jeu et laissé parler leur imaginaire… ou parfois, simplement, signalé leur présence de leur prénom !

Les cabanes restent à Coubertin où vous pourrez venir les « essayer » lors des Journées Européennes du Patrimoine, les 19 et 20 septembre. avec Christine le 19 (15h30-17h) et Pedro le 20 (14h30-16h).

FestivAl’OUT à Saint-Rémy

Venez découvrir les maisons conçues par Pedro Marzorati dès demain, vendredi 28 août 2020, pendant le festivAl’OUT de Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Elles attendent votre visite dans le parc de la Fondation Coubertin.

Soyez les premiers, les premières à les inaugurer, elles sont magiques. À la fois ouvertes et enveloppantes, elles vous invitent à vous y installer et percevoir ce qui vous entoure. Regarder mais aussi fermer les yeux et ouvrir tous les sens… qu’entendez-vous, que sentez-vous ?

Christine Coutris accompagnera votre découverte entre 16h et 17h30 et vous invitera, si vous le souhaitez, à laisser un mot comme trace de votre passage.

Photo Alice Marc, « sensible » du projet. Nous vous en reparlerons dans un prochain article…

Construction !

Les maisons conçues par Pedro Marzorati pour Se mettre au vert ont été assemblées aujourd’hui à l’ombre d’arbres magnifiques dans le parc de la Fondation Coubertin.

Ces « cabanes » vont accompagner et signaler le projet sur le territoire pendant toute sa durée. Vous pourrez guetter leur présence sur les sites partenaires, les chercher, les retrouver au hasard de vos visites.

À la fois ouvertes et enveloppantes, elles vous invitent à l’exploration : apprivoisez-les, entrez-y. Elles offrent un espace modifié, un point de vue particulier pour percevoir ce qui vous entoure. Installez-vous, observez, ressentez. Fermez les yeux « pour voir »… qu’entendez-vous, que sentez-vous ?

Essayez, vous comprendrez, elles sont magiques !

Prochaine étape pour les découvrir : la Fondation Coubertin le 28 août mais aussi les semaines suivantes puisque l’une d’elles restera prête à vous accueillir… ouvrez l’œil !

Photos Christine Coutris

Les nouvelles dates des ateliers !

Empêchés par le confinement, les ateliers sont déplacés à fin 2020-début 2021. Leurs dates sont maintenant redéfinies avec tous nos partenaires : nous vous retrouvons régulièrement d’octobre prochain à mars 2021.

Attention : les jauges sont limitées ! Inscrivez-vous auprès du PNR au 01 30 52 09 09

Keskisdiici

Soirées arrosées de paroles de lieu

Promenez-vous dans le lieu, fouinez, sentez, écrivez ce qu’il vous inspire et échangez avec les autres ! Christine vous guide par des consignes simples et inspirantes. On lit ensuite à voix haute (si on veut). Quand l’horaire s’y prête, chacun·e amène à boire et à grignoter pour un apéritif partagé en fin de séance.

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Carnets d’écoute

Promenade écoute-écriture

Quels sons nous entourent ? Écouter à l’oreille, au casque, quelle différence ? Laissez-vous guider par Gwenaëlle à la  cherche de la signature sonore du lieu. Puis par Christine pour raconter vos ressentis.